Le marché des Telecoms est en forte mutation, ceci conforte l’intérêt d’une démarche visant à challenger les solutions en place et revoir vos actifs télécoms
De nouveaux usages et modes de consommation apparaissent dans les entreprises
Le nomadisme domestique et international, le télétravail s’est intensifié, les accès distants deviennent omniprésents
L’usage du téléphone mobile personnel dans le cadre de l’entreprise (BYOD)
La digitalisation des services (Salesforce, cloud…) qui nécessite des accès Internet plus puissants et plus sécurisés, voire dédiés à certains services stratégiques….
Un fort mouvement de concentration / renouvellement des opérateurs depuis 5 ans
Completel racheté par SFR, Bouygues Télécom en vente, fusion Interoute Easynet, perte de vitesse de BlackBerry, …
Arrivée des acteurs télécoms de Délégation de Service Public et arrivée des Réseaux d’Initiative Publique.
Une transformation rapide des offres au plan marketing
Les opérateurs passent d’une vente de moyens (technologie d’accès, débit…) à une offre de services (garantie de disponibilité, package de service, …) : ces offres doivent être décryptées pour éviter de surpayer des services non nécessaires.
Les tarifs unitaires des actifs télécoms ont été orientés à la baisse, même si la tendance est moins marquée actuellement.
Des offres techniques qui ont largement évolué, liées à la maturité des technologies ou aux changements de réglementation :
Les accès réseau peuvent utiliser la 4G ou la Boucle Locale Radio (BLR),
L’éligibilité au haut débit s’est considérablement renforcée,
La gestion centralisée des terminaux devient possible (MdM).
Des offres de Téléphonie sur IP arrivées à maturité, mais dont le déploiement (passage de la téléphonie classique à la téléphonie IP), bien que fortement encouragé par les opérateurs, reste délicat
Importants risques de migration : beaucoup de projets stoppés par l’absence de fiabilité des solutions ou par manque de préparation des infrastructures
Modèle économique de la ToIP encore non suffisamment satisfaisant : dans les faits, la ToIP ne réduit pas vraiment les dépenses.